L'Eveil, 30/01/2015
L'inauguration des locaux avait lieu jeudi soir.
On comptait 7 organisations rue des Bains. Elles sont également 7 rue de La Passerelle, CGT, CFDT, CFTC, CFE/CGC, FSU, UNSA et Solidaires. FO n’a pas suivi le mouvement tandis que solidaires intègre cette nouvelle maison.
Les organisations syndicales ont toujours habité des locaux mis à leur disposition.
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Rassemblement à 11h30 à l'IA 7, rue de l'Ecole Normale à Vals près le Puy à l'appel de la FSU et de la CGT
TOUS en grève le 3 février !
Contre l’austérité, imposons une autre politique pour l'école, pour les élèves et pour les personnels !
François Hollande communique toujours sur le caractère prioritaire de l'Éducation nationale, pourtant les politiques d'austérité qu'il mène se déclinent dans toutes les décisions qui sont prises dans ce secteur.
Les moyens sont toujours insuffisants, les créations de postes tant annoncées ne compensent même pas la hausse démographique.
Le Renouveau, 27/01/15
Profitant de la présence de nombreuses personnalités venues assister à l’audience solennelle du Conseil des prud’hommes qui se tenait ce lundi 26 janvier au Puy-en-Velay, quatre organisations syndicales avaient appelé leurs militants à se faire entendre contre le projet de loi Macron.
Les militants des organisations syndicales CGT, FO, FSU et Solidaires étaient réunis ce lundi 26 janvier au Puy-en-Velay devant le Conseil des prud’hommes pour manifester contre le projet de loi Macron, présenté le même jour à l’Assemblée nationale. « Un projet fourre-tout, destructeur des droits, qui vise à simplifier la vie des employeurs et compliquer celle des salariés », commentait Alain Eyraud, secrétaire départemental de la CGT. Dans le collimateur des syndicats, la multiplication des ouvertures des commerces le dimanche.
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Riches Monts : toutes les usines du groupe sont en grève pour les NAO nationales. Tous les sites de France sont fermés à l’accès aux camions.
Les salariés revendiquent 5 % d’augmentation et une reconnaissance de la pénibilité dans leur classification.
Sur le site CFR de Brioude, 100% des salariés en CDI du 1er collège ont cessé le travail et restent mobilisés sur le piquet de grève.
Les négociations ont débuté cet après-midi à 14 h au siège de la société à Paris.
L’ensemble des sites de production français de Compagnie des fromages & Richesmonts, entreprise de fabrication de fromages à raclettes et à pâte molle (Cœur de Lion, le Rustique...), ont entamé une grève, à l'appel de la CGT, lundi 26 janvier, à minuit.
Les salariés grévistes du site de Brioude, se sont mobilisés, bloquant les accès de leur usine de production de fromage à raclette aux camions, laitiers ou autres.
Selon Ludovic Zanin, délégué du personnel du site brivadois, et Ludovic Mauranne, représentant syndical CGT, cette grève est liée aux négociations salariales annuelles obligatoires : « La direction veut passer des accords unilatéralement, sans aucune négociation. Par ailleurs, au niveau des classifications, nous souhaitons que soient reconnus les critères de polyvalences, de pénibilité et de conditions de travail. Il y a eu un accord de méthode, mais aucun syndicat n’était d’accord. »
Yves Sabatier, délégué syndical central CGT de CFR doit être reçu, ce lundi 26 janvier à 13 heures, avec une délégation, au siège social de l'entreprise CFR, à Puteaux. en attendant, le mouvement se poursuit.
Le Progrès, 23/01/15
Transport. Fermeture de lignes, de guichets, route préférée au rail… Pour les cheminots, les sujets qui fâchent sont nombreux. À tel point qu’ils ne vont pas tarder à le faire savoir en menant différentes actions.
Jeudi matin, au Puy-en-Velay, les cheminots CGT étaient réunis en assemblée générale. L’occasion pour le secrétaire général local Xavier Bousset et Gilbert Garrel, secrétaire fédéral national, de faire part de leurs craintes quant à l’avenir du rail en France et de l’impact que cette disparition pourrait avoir sur les territoires ruraux.
En chœur, ils déplorent que depuis janvier 2015 la SNCF n’existe plus mais soit dispersé dans plusieurs entités distinctes : les EPIC (Établissement public, industriel et commercial) qui gèrent séparément travaux et gestion des réseaux, voyageurs et fret. Tout cela dans le cadre de la refonte du système ferroviaire. Pour les cheminots CGT, « l’éclatement soulève plusieurs problèmes de coordination dans la réalisation du travail des cheminots. Quelle unité avons-nous aujourd’hui ? » interrogent-ils.
« Au nom du service public pour tous »
Plus largement, l’avenir du chemin de fer en France et dans des territoires comme l’Auvergne interroge. Les cheminots déplorent les fermetures de lignes, les ralentissements et les retards qui s’accumulent.
On craint quant à l’avenir des trains dits d’équilibre du territoire, (Aubrac, Cévenol…) qui seraient menacés, toute comme les lignes transversales (Lyon/Bordeaux ; Nantes/Marseille) qui selon les cheminots seraient sur la liste des suppressions.
Concernant le projet préconisé par la loi Macron de remplacer les trains par des cars, les cégétistes ne veulent pas en entendre parler. Selon eux, on doit agir « au nom du service public pour tous, et pas seulement au service des métropoles à forte demande ! ».
La fermeture de gares et des guichets est montrée du doigt, tout comme la suppression des postes de contrôleurs, « on devient des territoires de seconde zone ! ».
Quant aux phénomènes de fermeture, ils sont récurrents depuis 1995 « mais là ça s’accélère ».
Des actions au programme
À la CGT cheminots, le vent de colère se traduira rapidement par des actions. Jeudi prochain, ils seront à Paris pour une manifestation nationale. Une action large de sensibilisation est programmée entre la mi-février et la mi-mars. « Il s’agira d’alerter les usagers et les pouvoirs publics de la situation dans les gares, sur les marchés et autres lieux publics. L’objectif est d’aller à la rencontre des usagers pour expliquer ce qu’il en est ».
Autre point évoqué : la route, trop souvent préférée au rail, malgré son coût. « On nous dit qu’on veut réduire les gaz à effet de serre mais on privilégie la route ! ». Plus largement, les cheminots se disent « inquiets pour l’avenir de l’industrie ferroviaire, un fleuron Français, qui risque de perdre de nombreux emplois ».
Gérard Adier
L'intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires tiendra une conférence de presse militante et unitaire contre le projet de loi Macron lundi 26 janvier 2015 à 8h30 (fin à 9h15).
Symboliquement, le rassemblement aura lieu devant les Prud’hommes du Puy en Velay, une instance de défense des salariés qui est attaquée dans ce projet de loi « fourre-tout ».
La conférence de presse va dans le sens de la construction du rapport de force pour faire barrage au projet en discussion ce jour-là au Parlement.
Rendez-vous devant les Prud’hommes du Puy en Velay, 4 rue Richond des Brus (près de la sécurité sociale).
Document en téléchargement :
== Tract intersyndical Haute-Loire contre la loi Macron
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