POUR que les salarié.es de Léo Lagrange continuent de vivre dignement, POUR ne pas aggraver la situation de l’emploi du bassin brivadois, POUR garantir un accueil digne des réfugiés, la CGT Léo Lagrange solidaire des salariés en lutte pour la préservation de leurs emplois appelle à signer et faire signer la pétition : "Non au licenciement collectif et à l'accueil de résidents au rabais à Léo Lagrange"
Les représentants syndicaux reçus à la sous-préfecture de Brioude pour évoquer l'avenir du Cada de Saint-Beauzire (La Montagne)
Alors que les procédures de reclassement des cinq salariés sont en cours, les représentants syndicaux et élus locaux se sont réunis ce jeudi 20 mai devant la sous-préfecture pour évoquer l’avenir du Cada de Saint-Beauzire.
« En licenciant dans le même temps cinq employés sur le site, on se demande comment le projet d’accueillir le double de migrants (de 50 à 110) en Centre d’accueil de demandeurs d’asile (Cada) Léo-Lagrange de Saint-Beauzire, va pouvoir être viable ? » C'est l'une des questions mises sur la table par Terab Mansour, représentant syndical CGT Léo-Lagrange, ce jeudi 20 mai, lors de l'entrevue organisée à la sous-préfecture de Brioude. [...]
De plus, certaines situations personnelles devraient être prises en compte, notamment pour les trois cuisiniers âgés de 55, 58 et 60 ans menacés de licenciement. Et ce afin de trouver des solutions pour ces personnes proches de la retraite. Pour les deux autres salariés, les offres de reclassement proposées sont qualifiées "d'inconcevables" par les syndicats, car très éloignées du territoire.
"Léo Lagrange propose un poste d'animateur à 12 heures par semaine, en CDD à Nice, Lyon ou Toulouse", dénonce Terab Mansour, CGT
Edition en ligne du 20/05/2021
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Les cinq employés menacés de licenciement au Cada de Saint-Beauzire (Haute-Loire) ont passé leur entretien de reclassement [La Montagne]
Reportés face à la mobilisation des syndicats et à la demande des salariés, les entretiens de reclassement des cinq employés du Cada de Saint-Beauzire ont eu lieu ce mardi 27 avril. Pour les soutenir, les militants de la CGT se sont mobilisés.
« Le risque c’est qu’il leur soit proposé des postes loin de chez eux. Et il y a des salariés qui sont à quelques années de la retraite », expliquait Jérémie Fortin, militant CGT, le lundi 12 avril, lors de la première mobilisation.
On demande à la direction un vrai dialogue social afin de prendre en compte les cas personnels. Pour que ces salariés aient une issue sociale et professionnelle honorable.Terab Mansour, représentant syndical CGT Léo-Lagrange et secrétaire adjoint à L’USPAOC-CGT (L’union nationale des syndicats CGT des personnels des associations, et organismes sociaux, sportifs et culturels)
Edition en ligne du 27/04/2021
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