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Jeudi 11 mars 2021, une délégation de l'Union Locale CGT 43 de Sainte-Sigolène / Monistrol-sur-Loire est venue apporter son soutien aux salariés de Aubert et Duval en grève depuis le 2 mars pour préserver l'emploi sur l'usine de Firminy (42).

L'entreprise en difficultés prévoit de supprimer 17 postes. Les ouvriers protestent également contre la mise en place d'un Accord de Performance Collective et se mobilisent dans l'unité avec leurs délégués syndicaux pour empêcher les sacrifices salariaux exigés par la direction. Pour la CGT, un projet industriel doit être trouvé pour garantir l'avenir du site metallurgique.

Aubert et Duval à Firminy: la mobilisation des salariés se poursuit [Le Progrès]

La mobilisation se poursuit ce jeudi 11 mars devant le site appelou jusqu’à 15 heures. En cause, la volonté de l’entreprise de supprimer 17 emplois [...]

[...] Kader Benelhad, délégué syndical CGT reconnaît « quelques avancées » avec la direction concernant le gel des salaires et de l’intéressement qui serait ramené à deux ans au lieu des trois prévus. [...]

Edition en ligne du 11/03/2021
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Les salariés d’Aubert et Duval en grève à Firminy : « La direction ne présente pas de projet industriel » [Le Progrès]

Environ 50 % des effectifs appelous étaient en grève pour montrer leur opposition au projet présenté par la direction de l’entreprise pour limiter le "coût du travail".

Quatre ans après, les banderoles des syndicats étaient de retour, mardi, devant l’usine Aubert et Duval de Firminy. En 2017, la direction de l’entreprise de métallurgie avait décidé de fermer l’aciérie sur son site appelou, ce qui avait entraîné la suppression d’une vingtaine d’emplois. Aujourd’hui, c’est l’avenir de l’entreprise qui inquiète les 176 salariés de Firminy.

Environ 50 % d’entre eux étaient en grève, mardi, à l’appel de la CGT et de la CFDT. « On a conscience de la situation difficile mais la direction subit trop les choses et ne présente pas de projet industriel », reproche, Kader Benelhadj, délégué syndical CGT du site du Firminy.

« La seule chose qu’ils font, c’est baisser la masse salariale. Ils ne touchent pas aux dividendes, ni aux bonus des dirigeants », regrette le délégué CGT.

Edition en ligne du 02/03/2021
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